Défense de la profession dans tous les champs de son exercice

Le SNP estime que la journée d’action du 28 janvier prochain, si elle est nécessaire pour exprimer l’inquiétude des psychologues, ne saurait constituer à elle seule une réponse appropriée à la politique actuelle des pouvoirs publics.



Le SNP, syndicat professionnel, est attaché à la défense de la profession dans tous les champs de son exercice. C’est pourquoi il estime que la journée d’action du 28 janvier prochain, si elle est nécessaire pour exprimer l’inquiétude des psychologues, ne saurait constituer à elle seule une réponse appropriée à la politique actuelle des pouvoirs publics.



Il réaffirme qu’il porte et partage les inquiétudes actuelles de tous les psychologues et qu’il est en phase avec les thèmes qui fondent les appels respectifs de L’UFMICT CGT et de SUD Santé à la journée d’action du 28 janvier prochain.



Seul syndicat à avoir contesté la circulaire FPH de mai 2010 devant le Conseil d’Etat, le SNP n’a, pour autant, pas appelé, ès qualités, à cette action car il la considère comme insuffisante à défendre la profession dans son ensemble et centrée trop exclusivement sur le champ « santé » de la profession de par le choix d’un rassemblement devant le secrétariat d’état à la santé.



Le SNP sera présent avec les psychologues engagés dans cette action mais il les appelle à une mobilisation unitaire plus soutenue avec toutes les composantes de la profession, et prenant en compte tous les champs et modalités d’exercice de la profession.



Le SNP attend les réactions des centrales à sa proposition du 10 janvier dernier, de mise en place d’une plateforme des revendications communes à toutes les organisations et d’une concertation sur les stratégies à prendre dans la durée du combat à mener. Sans cela l’action du 28 janvier risquerait de n’être qu’un coup d’épée dans l’eau !


 
Pour le Bureau National,  Le Secrétaire général, Jacques Borgy

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